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BÉNÉFICIAIRES DU PROGRAMME
De septembre 2024 à juillet 2025, l'ACEAC accompagne au sein de son incubateur de jeunes diplômé.e.s du réseau de l'Enseignement Supérieur Culture (ESC) souhaitant developper un travail autour de la création chorégraphique (création, recherche, action culturelle).
Tous porteurs de projets créatifs à impact nous nous donnons pour mission de les soutenir dans leurs premiers pas en tant que créateurs.trices et chef.fes de projets

INCUBATEUR 2024/2025
Le Programme d'Accompagnement et de Soutien à l’Émergence est conçu sous la forme d’un Incubateur dédié aux chorégraphes et compagnies émergentes.
Conscients de la difficulté que représente la structuration d’un projet artistique, nous mettons met en place un programme offrant un soutien aux jeunes artistes, en lien avec cinq établissements d’enseignement supérieur, divers lieux de résidence dans les territoires, du tuteurs, et un réseau professionnel de mentors.
Nous somme soutenu dans le développement cet incubateur basé en Normandie par : le Ministère de la Culture, le Département de Seine-Maritime, la Fondation pour la Danse - Thierry Malandain, le Centre National de la Danse, M. Corde mécène principal de l'ACEAC, et de nombreux autre partenaires...

Sara Andrieu
Diplômée du CNSMD de Lyon

Adam Chado
Diplômée du Cndc d'Angers

Ema Bertaud
Diplômée du Cndc d'Angers

Anatole Chartier
Diplomé de l'École des Beaux-Arts de Poitier
Anatole Chartier propose des œuvres qui remettent en question notre relation avec l'environnement, en intégrant des éléments naturels pour créer des objets spéculatifs, des artefacts du futur. Ses installations engagent les spectateurs dans des expériences immersives qui repensent notre perception de l'espace et du temps. Son travail vise à déclencher des échanges et à générer de nouvelles narrations collectives.
Anatole Chartier propose des œuvres qui remettent en question notre relation avec l'environnement, en intégrant des éléments naturels pour créer des objets spéculatifs, des artefacts du futur. Ses installations engagent les spectateurs dans des expériences immersives qui repensent notre perception de l'espace et du temps. Son travail vise à déclencher des échanges et à générer de nouvelles narrations collectives.

Mélisande Tonolo
Diplômée du CNSMD de Lyon
Née et formée en Savoie, elle intègre le CRR de Chambéry puis le CNSMD de Lyon dont elle sort diplômée en 2021.
Pendant ses études elle travaille avec Anne Martin, Katerina Andreou, Ioannis Mandafounis, Samuel Mathieu et Ruth Childs (répertoire Lucinda Childs).
Elle nourrit pendant ces années l’envie d’allier à son travail d’interprète une réflexion sur la création. Elle participe à de nombreux projets en collaboration avec des compositeur.ices, musicien.nes, des vidéastes et plasticien.nes, dans un vivier à la croisée des disciplines.
Elle travaille notamment en 2021 et 2023 avec le compositeur Jacopo Greco d’Alceo, sur la création des pièces Tricot et Chiedimi le mie radici.
Elle a travaillé comme interprète avec Malika Djardi pour Pier 7 et Eva Aubigny pour Parmi l’humilité de la chair, ceux qu’il reste.
Elle engage aussi une recherche chorégraphique qui s’ancre dans sa pratique des arts visuels et dramaturgiques, et leur lien avec le corps. Elle s’intéresse particulièrement au travail des mots et de la voix, en travaillant ses propres écrits à partir d’expérimentations physiques et sensorielles.
Aujourd’hui elle est interprète pour Noé Soulier dans les pièces Passages et Close Up ; et Rémi Esterle (Cie Tres Esquinas) avec qui iels créent ensemble un solo, Larsen.
Elle co-fonde en 2023 avec Paul Gohier le collectif Washing Washing autour d’une recherche physique, sonore et plastique. En 2024, iels entreprennent la création de leur première pièce u nu // n un .
Née et formée en Savoie, elle intègre le CRR de Chambéry puis le CNSMD de Lyon dont elle sort diplômée en 2021.
Pendant ses études elle travaille avec Anne Martin, Katerina Andreou, Ioannis Mandafounis, Samuel Mathieu et Ruth Childs (répertoire Lucinda Childs).
Elle nourrit pendant ces années l’envie d’allier à son travail d’interprète une réflexion sur la création. Elle participe à de nombreux projets en collaboration avec des compositeur.ices, musicien.nes, des vidéastes et plasticien.nes, dans un vivier à la croisée des disciplines.
Elle travaille notamment en 2021 et 2023 avec le compositeur Jacopo Greco d’Alceo, sur la création des pièces Tricot et Chiedimi le mie radici.
Elle a travaillé comme interprète avec Malika Djardi pour Pier 7 et Eva Aubigny pour Parmi l’humilité de la chair, ceux qu’il reste.
Elle engage aussi une recherche chorégraphique qui s’ancre dans sa pratique des arts visuels et dramaturgiques, et leur lien avec le corps. Elle s’intéresse particulièrement au travail des mots et de la voix, en travaillant ses propres écrits à partir d’expérimentations physiques et sensorielles.
Aujourd’hui elle est interprète pour Noé Soulier dans les pièces Passages et Close Up ; et Rémi Esterle (Cie Tres Esquinas) avec qui iels créent ensemble un solo, Larsen.
Elle co-fonde en 2023 avec Paul Gohier le collectif Washing Washing autour d’une recherche physique, sonore et plastique. En 2024, iels entreprennent la création de leur première pièce u nu // n un .

Malick Cissé
Diplômé du Cndc d'Angers

Jeanne Fohr
Diplomée du PSPBB,
étudiante au CNSMDP
Jeanne Fohr est danseuse, chorégraphe et réalisatrice.
Après une année d’hypokhâgne littéraire – cinéma, elle s’engage au Pôle Supérieur Paris -Boulogne Billancourt en Diplôme National du danseur jazz. Elle obtient son diplôme en juillet 2024. À la rentrée 2024, elle intègre le Conservatoire National de Musique et de Danse de Paris en Master – Ensemble Chorégraphique. Depuis l’adolescence, Jeanne s’engage dans la création de projets chorégraphiques et participe également à ceux de ses ami.es. Elle commence à travailler sur des courts et longs -métrages en tant qu’assistante décoratrice, et s’épanouit par la suite dans l’assistanat à la réalisation.
Elle assiste Lola Rudrauf dans ses projets depuis 2022 et danse notamment auprès de Jérémy Alberge, Louise Gandois (projets filmiques et scéniques) et Kim Bufi. Elle réalise son premier court - métrage « SOROR » à l’été 2022. Son amour pour le cinéma et la danse l’amène à travailler sur leurs liens et leurs disparités. Ainsi, elle chorégraphie pour des courts -métrages de fiction, des docu -fictions, des clips ainsi que des performances filmées, mais travaille aussi la danse en tant qu’art scénique. L’organicité, la précision et la poétique du mouvement animent ses compositions. L’art du détail sous l’œil de la caméra éveille son attention. L’expressivité de l’être par l’art de la danse est essentielle dans l’élaboration de son travail.
étudiante au CNSMDP
Jeanne Fohr est danseuse, chorégraphe et réalisatrice.
Après une année d’hypokhâgne littéraire – cinéma, elle s’engage au Pôle Supérieur Paris -Boulogne Billancourt en Diplôme National du danseur jazz. Elle obtient son diplôme en juillet 2024. À la rentrée 2024, elle intègre le Conservatoire National de Musique et de Danse de Paris en Master – Ensemble Chorégraphique. Depuis l’adolescence, Jeanne s’engage dans la création de projets chorégraphiques et participe également à ceux de ses ami.es. Elle commence à travailler sur des courts et longs -métrages en tant qu’assistante décoratrice, et s’épanouit par la suite dans l’assistanat à la réalisation.
Elle assiste Lola Rudrauf dans ses projets depuis 2022 et danse notamment auprès de Jérémy Alberge, Louise Gandois (projets filmiques et scéniques) et Kim Bufi. Elle réalise son premier court - métrage « SOROR » à l’été 2022. Son amour pour le cinéma et la danse l’amène à travailler sur leurs liens et leurs disparités. Ainsi, elle chorégraphie pour des courts -métrages de fiction, des docu -fictions, des clips ainsi que des performances filmées, mais travaille aussi la danse en tant qu’art scénique. L’organicité, la précision et la poétique du mouvement animent ses compositions. L’art du détail sous l’œil de la caméra éveille son attention. L’expressivité de l’être par l’art de la danse est essentielle dans l’élaboration de son travail.

Noan Colin
Diplômé du Cndc d'Angers

Antoine Cardin
Diplomé du CNSMD de Lyon et de l'École Supérieur des Arts de Lorraine
Antoine est danseur-interprète et chorégraphe, il commence ses études de danse au CRR de
Grenoble puis est formé au CNSMD de Lyon et à l’Université Lyon 2. Il a à cœur de transmettre et
de partager ses pratiques et a suivi pour cela le DE de professeur de danse à l’ESAL et une
formation autour de la médiation au CND. Il suit aussi la 1 er partie de la formation ARVIVA pour
orienter éco-responsablement cette jeune compagnie.
Il a travaillé avec le CCN-ballet de Lorraine et déploie aujourd’hui son métier de danseur avec la
compagnie Ultreia à Épinal, la Cie Callicarpa à Mulhouse et différente maison d’Opéra comme celle
de Rouen ou de Lorraine.
Sa présence sur la création de « Decay » de Tatiana Julien lui inspire la nécessité de s’exprimer
artistiquement sur le rapport de la société au vivant. Cette idée prend corps à l’été 2022, tandis
qu’il parcourt les côtes bretonnes du GR34, à pied et sans argent. Il tisse le long des 800 km un
nouveau lien avec ce qui l’entoure et troque de quoi se nourrir en échange de ses productions
artistique in situ. Il souhaite nourrir l’hybride et entremêle la danse à d'autres médiums comme la
poésie, le théâtre, le chant ou des formes plastiques. Il arpente dans ses différents travaux des
préoccupations écologiques et de relations collectives à travers des pratiques en rupture avec
certains axes de la société.
Antoine est danseur-interprète et chorégraphe, il commence ses études de danse au CRR de
Grenoble puis est formé au CNSMD de Lyon et à l’Université Lyon 2. Il a à cœur de transmettre et
de partager ses pratiques et a suivi pour cela le DE de professeur de danse à l’ESAL et une
formation autour de la médiation au CND. Il suit aussi la 1 er partie de la formation ARVIVA pour
orienter éco-responsablement cette jeune compagnie.
Il a travaillé avec le CCN-ballet de Lorraine et déploie aujourd’hui son métier de danseur avec la
compagnie Ultreia à Épinal, la Cie Callicarpa à Mulhouse et différente maison d’Opéra comme celle
de Rouen ou de Lorraine.
Sa présence sur la création de « Decay » de Tatiana Julien lui inspire la nécessité de s’exprimer
artistiquement sur le rapport de la société au vivant. Cette idée prend corps à l’été 2022, tandis
qu’il parcourt les côtes bretonnes du GR34, à pied et sans argent. Il tisse le long des 800 km un
nouveau lien avec ce qui l’entoure et troque de quoi se nourrir en échange de ses productions
artistique in situ. Il souhaite nourrir l’hybride et entremêle la danse à d'autres médiums comme la
poésie, le théâtre, le chant ou des formes plastiques. Il arpente dans ses différents travaux des
préoccupations écologiques et de relations collectives à travers des pratiques en rupture avec
certains axes de la société.

Ninon Jude
Diplômée du CNSMD de Lyon
Ninon Jude découvre la danse et le clavecin au conservatoire de Limoges, sa ville d'origine. Elle y étudie jusqu'à ses quinze ans et y fait la rencontre de Claude Brumachon et Benjamin Lamarche. En 2017, elle rejoint le conservatoire de Poitiers où elle obtient son Diplôme National à Orientation Professionnelle en danse contemporaine. Après une année à Strasbourg en faculté d'Arts du spectacle et au conservatoire, elle est admise au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon en 2020. Soutenue par l'ACEAC, elle créé aujourd'hui sa première pièce, Le Refuge, en collaboration avec des artistes rencontrés durant ses quatre dernières années d'études à Lyon.
Ninon Jude découvre la danse et le clavecin au conservatoire de Limoges, sa ville d'origine. Elle y étudie jusqu'à ses quinze ans et y fait la rencontre de Claude Brumachon et Benjamin Lamarche. En 2017, elle rejoint le conservatoire de Poitiers où elle obtient son Diplôme National à Orientation Professionnelle en danse contemporaine. Après une année à Strasbourg en faculté d'Arts du spectacle et au conservatoire, elle est admise au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon en 2020. Soutenue par l'ACEAC, elle créé aujourd'hui sa première pièce, Le Refuge, en collaboration avec des artistes rencontrés durant ses quatre dernières années d'études à Lyon.

Paul Gohier
Diplômé du CNSMD de Lyon -
Né en 1997, il commence la percussion au CRR de Reims dans la classe de Jean Fessard, puis continue ses études au CRR de Rennes et au CRD de Mantes-la-Jolie avec Julien Pellegrini, Rémi Durupt et Stanislas Delannoy. Il intègre le CNSMDL en percussions dans la classe de Minh-Tâm Nguyen et sort diplômé du master interprète en 2024.
Durant ces 5 années à Lyon, il crée une affinité particulière avec la danse et l’improvisation. La lecture du mouvement dansé ainsi que la création musicale instantanée l’interpellent.
Il entreprend également divers projets pluridisciplinaires le poussant à réfléchir davantage sur la question du « corps » chez l’interprète. Dans son mémoire de recherche, il s’intéressera spécifiquement à la danse et à l’étude du geste ; il expliquera en quoi cette démarche permet de sensibiliser davantage les corps des interprètes et de reconsidérer sa pratique musicale artistique.
Depuis 2022, Paul occupe un poste d’accompagnateur au CNSMDL pour les classes de danse contemporaine / classique et se construit par les projets de création et ses diverses expériences de plateau.
En 2022-2023, il travaille avec le metteur en scène Raphaël Patout (CIE la chambre noire) sur la pièce La fabrique du lieu, pour deux performeurs, danseur et musicien.
En 2023-2024, il travaille également en tant qu’interprète/ musicien et compositeur avec la Cie bornées et relatives pour la création de Ronce s’appuyant sur le texte de Samaël Steiner et mise en scène par Mathilde Segonds.
Il s’intéresse également à la performance et se questionne quant à l’importance du lieu et des espaces qu’il occupe. Le monde du spectacle par le biais de la transversalité des arts est donc au centre de ses envies professionnelles.
En 2023, il co-fonde avec Mélisande Tonolo le collectif Washing Washing et engagent une recherche autour d’états physiques, sonores et plastiques. En 2024, iels entreprennent la création de leur première pièce u nu // n un.
Né en 1997, il commence la percussion au CRR de Reims dans la classe de Jean Fessard, puis continue ses études au CRR de Rennes et au CRD de Mantes-la-Jolie avec Julien Pellegrini, Rémi Durupt et Stanislas Delannoy. Il intègre le CNSMDL en percussions dans la classe de Minh-Tâm Nguyen et sort diplômé du master interprète en 2024.
Durant ces 5 années à Lyon, il crée une affinité particulière avec la danse et l’improvisation. La lecture du mouvement dansé ainsi que la création musicale instantanée l’interpellent.
Il entreprend également divers projets pluridisciplinaires le poussant à réfléchir davantage sur la question du « corps » chez l’interprète. Dans son mémoire de recherche, il s’intéressera spécifiquement à la danse et à l’étude du geste ; il expliquera en quoi cette démarche permet de sensibiliser davantage les corps des interprètes et de reconsidérer sa pratique musicale artistique.
Depuis 2022, Paul occupe un poste d’accompagnateur au CNSMDL pour les classes de danse contemporaine / classique et se construit par les projets de création et ses diverses expériences de plateau.
En 2022-2023, il travaille avec le metteur en scène Raphaël Patout (CIE la chambre noire) sur la pièce La fabrique du lieu, pour deux performeurs, danseur et musicien.
En 2023-2024, il travaille également en tant qu’interprète/ musicien et compositeur avec la Cie bornées et relatives pour la création de Ronce s’appuyant sur le texte de Samaël Steiner et mise en scène par Mathilde Segonds.
Il s’intéresse également à la performance et se questionne quant à l’importance du lieu et des espaces qu’il occupe. Le monde du spectacle par le biais de la transversalité des arts est donc au centre de ses envies professionnelles.
En 2023, il co-fonde avec Mélisande Tonolo le collectif Washing Washing et engagent une recherche autour d’états physiques, sonores et plastiques. En 2024, iels entreprennent la création de leur première pièce u nu // n un.

Paul Grassin
Diplômé du Cndc d'Angers
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